OXYGÉNATION CELLULAIRE

L’oxygène est un besoin fondamental à notre survie. Il apporte l’énergie nécessaire au bon fonctionnement de notre organisme, notamment pour se protéger des agressions, améliorer notre santé et nos défenses naturelles.
Malgré les 21 % présents dans l’air, nous sommes tous en sous-oxygénation.
Pollution atmosphérique, mauvaise alimentation, stress, fatigue chronique… pas facile de respirer efficacement avec nos modes de vie actuels.
Découvrons à quoi sert l’oxygène et comment se déroule la production d’énergie dans l’organisme. Pourquoi ce processus est-il si complexe 

À quoi servent l’oxygène et les mitochondries ?

Le premier rôle de l’oxygène est de permettre la production d’énergie par l’organisme pour ses propres besoins (maintien de la température interne par exemple) et pour l’ensemble de ses activités, physiques, psychiques et mentales.

Tout se passe au niveau des cellules, dans de petits organites appelés mitochondries : en présence d’oxygène, elles transforment les nutriments issus du métabolisme en énergie directement utilisable par la cellule (ATP).

On peut comparer les mitochondries à des « piles » chargées de produire, stocker et distribuer l’énergie nécessaire à la cellule.
Les cellules humaines peuvent contenir 1 500 mitochondries et jusqu’à 6 000 pour les cellules nerveuses.
Une bonne santé mitochondriale est à la source de l’énergie vitale.

Quels sont les dangers de la sous-oxygénation cellulaire ?

Les conséquences d’un manque d’oxygène sont multiples. En voici quelques-unes :

> Altération du métabolisme
Le déficit d’oxygène provoque un ralentissement de la production d’énergie dans la cellule. Résultat : les réactions biochimiques d’assimilation des nutriments sont incomplètes, les déchets s’accumulent et intoxiquent progressivement l’organisme.

> Excès de radicaux libres
La mitochondrie ne fonctionne plus correctement et les métabolismes sont ralentis. L’organisme fabrique des radicaux libres en excès (stress oxydant). En outre l’hypoxie entraînant une dégradation des systèmes de défenses anti radicalaires : c’est un double stress pour la cellule.

> Impact sur le système nerveux
Le cerveau et le système nerveux central sont les plus gros consommateurs d’oxygène et donc les premiers touchés (le cerveau représente environ 2 % du poids total d’un homme, mais consomme 20 % de l’énergie totale). D’où le déclenchement de signaux d’alarme, en cas d’hypoxie cérébrale : fatigue chronique, nervosité, défaillance de la mémoire…

 

L’hypoxie conduit-elle à la maladie ?

Tout dépend de l’intensité de l’hypoxie et de sa durée.

Lorsqu’elle perdure, la plupart des fonctions corporelles est perturbée et la maladie s’installe. La perte de vitalité ouvre la voie à l’apparition de pathologies telles que troubles cardiaques et circulatoires, hépatites chroniques, athérosclérose, voire de maladies plus graves comme le cancer et autres pathologies dégénératives. S’installe alors un véritable cercle vicieux.

 

Quelles sont les conséquences d’un excès d’oxygène ?

Dans la nature, qui tend toujours à l’équilibre, l’excès est aussi néfaste que le manque.

Si on augmente la quantité d’oxygène inspiré, cela conduit dans la durée à une hyper-oxygénation (ou hyperoxie). À long terme, elle aussi a des effets délétères sur la santé, notamment via la formation excessive de radicaux libres, à l’origine de dommages cellulaires et d’inflammation. L’administration d’oxygène pur est réservée à des usages médicaux spécifiques.

 

Hypoxie/hyperoxie, comment trouver un équilibre ?

Tant l’hypoxie que l’hyperoxie peuvent avoir des conséquences néfastes sur la santé. Il est important de trouver un équilibre pour assurer une oxygénation optimale et maintenir un bon fonctionnement de l’organisme. Cet équilibre passe par une bonne maitrise de sa respiration, un mode de vie sain et l’adoption d’une méthode d’oxygénation naturelle.

Le Bol d’air optimise l’oxygénation de l’organisme. Il augmente et entretient notre faculté d’assimilation de l’oxygène normalement respiré.
Cette méthode unique contribue à préserver un bon état de santé globale.

Un oxygène hautement assimilable

Les pinènes de cette huile essentielle, Orésine, transformés par peroxydation, deviennent des facilitateurs de l’oxygénation cellulaire. D’où le nom de biocatalyseurs que leur donnait René Jacquier.

Le mécanisme est triple :
> L’oxygène est mieux distribué vers les tissus. L’hémoglobine “capte” plus volontiers les pinènes oxygénés que l’oxygène seul. À quantité équivalente dans l’air inspiré, elle en transporte davantage vers les cellules.
L’oxygène, transporté par l’intermédiaire des pinènes, est moins facilement lié à l’hémoglobine et plus facilement libéré par les cellules.
> L’oxygène est délivré sous une forme naissante, hautement assimilable par la cellule.

 

Une oxygénation cellulaire équilibrée

Avec le Bol d’air, l’organisme est simplement et naturellement mieux oxygéné :
> la respiration cellulaire s’effectue sans risque de stress oxydatif lié au déficit ou à l’excès d’oxygène
> la fonction mitochondriale s’améliore :

  • accroissement de la production d’énergie
  • renforcement des défenses anti radicalaires
  • la biodisponibilité de l’oxygène est améliorée.

Cette approche ne consiste pas à inhaler plus d’oxygène, ni à introduire de l’oxygène dans le corps par d’autres méthodes quantitatives (par l’intermédiaire de l’eau ou à l’aide d’air pressurisé). Elle est sans danger et sans accoutumance.

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